Oui, l’amitié toxique existe et mieux vaut savoir l’identifier pour ne pas y laisser quelques plumes. L’humeur (BFF) du mois, c’est par ici.
Humeur
Pour notre chroniqueuse, l’été 2023 s’annonce comme un millésime à haute teneur en prise de tête. L’humeur (hystéro) du mois, c’est par ici.
À la moindre remarque de sa mère, notre chroniqueuse se transforme en ado en crise prête à mordre. Mais pourquoi la relation mère-fille est-elle si compliquée ?
À l’heure de l’affaire Saad Lamjarred et du #MeToo marocain, notre chroniqueuse nous fait part de son humeur affligée.
Les coachs sont devenus les nouveaux psys de la génération X. Pour notre chroniqueuse, ça sent l’arnaque à plein nez.
Cette année, notre chroniqueuse s’est pliée au challenge du dry january. L’humeur (assoiffée) du mois, c’est par ici.
Il y a des vérités qu’il faut parfois arriver à accepter. Surtout quand elles vous explosent à la figure. De la trentaine virevoltante à la Carrie Bradshow, je suis passée en quelques années à une version moins glamour de moi-même, façon remake de Tatie Danielle. Au point de me questionner : “quand la vieillesse est-elle entrée dans ma vie?”. L’humeur (défraichie) du mois, c’est par ici.
On peut dire que je suis quelqu’un de téméraire : j’enclenche le mode “Sarah Connor” quand il faut relever n’importe quel défi du quotidien. Pourtant quelque chose me terrorise au plus haut point : la circulation à Casablanca. Vous savez, celle qui concentre une joyeuse bande de chauffards prêts à en découdre à la pointe de la pédale de vitesse, façon (mauvais) remake de Fast and Furious. J’ai même l’impression que ces derniers temps, le Far West du bitume est en plein boom. Passer son permis et risquer la mort à chaque coin de rue ? Très peu pour moi, merci. L’humeur (terrorisée) du mois, c’est par ici.
Dans la liste des péchés capitaux, la paresse est sans doute le vice que je dois combattre le plus (après la gourmandise, certainement). Mais ma lutte contre la flemmardise se heurte à un adversaire de taille : Netflix. Il faut avouer que depuis presque deux ans, la plateforme s’est confortablement installée dans mon salon, jusqu’à devenir un individu à part entière à la maison. Ajoutez à ça un confinement, des couvre-feux à rallonge et le ramadan, et vous obtiendrez une larve un peu honteuse qui passe ses soirées à faire du binge watching sur son canapé. Du coup, j’ai décidé de couper le cordon (HDMI). L’humeur (affalée) du mois, c’est par ici.
Dans la catégorie folle hystérique, il arrive que je dépasse parfois les bornes. Mais ce n’est pas toujours QUE de ma faute. Oui, tous les mois, mes règles débarquent et avec elles, une armada d’hormones et de sentiments confus que j’ai parfois du mal à assumer. Et si les menstruations ne sont plus un sujet tabou, les craquages qui vont avec, eux… Je n’irais pas jusqu’à dire que la fameuse question : “elle a ses règles ou quoi?” ne me fait plus d’effet, mais j’ai décidé d’accepter la part de diable de Tasmanie en moi. L’humeur (sanglante) du mois, c’est par ici.