RAMADAN 2019 : 4 SÉRIES QUE VOUS N’ALLEZ PAS LÂCHER

C’est vrai, chez Shoelifer, tous les prétextes sont bon pour parler séries, en commençant par ramadan, évidemment. Parce que c’est le moment idéal pour regarder les sorties de l’année, celles dont tout le monde parle mais qu’on n’a pas eu le temps commencer. Certes, ce sera un rattrapage sans pop-corn ni Coca, mais on n’a pas trouvé meilleur moyen pour se relaxer en attendant le ftour tant attendu. Et peut-être parce qu’on se prépare à affronter la mauvaise humeur de nos concitoyens (on vous l’a dit, ramadan a bon dos !), on a choisi des séries policières, à suspens, haletantes, voire violentes. Press play and go !

You’re Dead to Me

Le pitch : Jen, jouée par Christina Applegate (Marié, 2 enfants, Friends), perd brutalement son mari dans un accident de voiture. Elle s’inscrit alors à un groupe de parole de gens ayant perdu un être cher : elle y rencontre Judy, campée par la pétillante Linda Cardellini. Judy est une fille très enthousiaste, fofolle, attachante… mais un peu trop attachée qui va envahir la vie de Jen. A quel point ?

Pourquoi on aime : Pour le titre déjà. “Tu es mort pour moi”, expression américaine qui fait le parallèle entre les gens morts – physiquement – et ceux qui sont “morts” à nos yeux. On aime cette série pour son côté comique, mais aussi parce qu’elle n’a pas peur d’explorer les côtés obscurs de ses personnages. On aime aussi parce qu’on y retrouve James Marsden, dont la belle gueule a toute son importance dans cette intrigue.

Première saison dispo sur Netflix

Gomorra 

Le pitch : Adaptation du roman de Roberto Saviano, Gomorra est une série à la recette très simple. Une ville, Naples, deux familles, les Savastano et les Conte, et une guerre entre les deux. L’enjeu ? Le même que celui que poursuit la vraie Camorra napolitaine (que l’auteur s’est mis à dos en écrivant ce livre…oups !) : avoir les pleins pouvoirs sur toute la ville et ses trafics.

Pourquoi on aime : Quand on aime les histoires de gangsters, on ne peut qu’adorer Gomorra, avec son rythme à couper le souffle, l’atmosphère pesante d’une ville irrespirable de violence et des acteurs, que l’on croirait issus de la pègre italienne. Marco d’Amore (Gennaro) et Salvatore Esposito (Ciro), entre autres, vous embarqueront dans un univers effrayant, qu’ils illustrent à la perfection avec leurs gueules cassées.

La quatrième saison vient de s’achever sur Canal +, toutes les saisons sont disponibles sur https://www.mycanal.fr/

 

 

Killing Eve 

Le pitch : Elle a passé 14 ans et 15 saisons dans l’illustre Grey’s Anatomy, Sandra Oh revient dans une série où elle tient le rôle principal. Une série taillée à sa mesure, pour laquelle elle rafle, depuis sa sortie, prix sur prix. Ici, elle joue Eve Polastri, une agent du MI5 (services secrets britanniques) qui se voit confier un dossier pour le mois compliqué. Elle doit traquer une tueuse en série, à grosses tendances psychopathes et particulièrement maligne. Cette chasse va rendre l’agent presque folle, tant elle est toujours en retard d’à peine quelques secondes sur la tueuse, qui joue avec elle comme une marionnette.

Pourquoi on aime : Tout d’abord, parce que les séries de la BBC ont un truc en plus. Est-ce la brume anglaise, la façon dont le scénario est –bien– ficelé, ou Sandra Oh que l’on semble découvrir pour la première fois ? On ne sait pas. On sait juste qu’il ne faut pas passer à côté des deux premières saisons, en attendant la troisième prévue en 2020.

 

Hanna

Le pitch : Hanna est une jeune adolescente qui ne sait pas grand-chose sur sa vie. Un passé trouble, c’est tout ce qu’elle a comme information et une propension à la violence inexpliquée. Pas la violence des adolescents lambda, ceux qui cassent leur guitare sur la porte quand ils sont privés de sortie. Non, Hanna possède la force d’un militaire surentraîné et semble maîtriser les techniques des commandos les mieux entraînés.

Pourquoi on aime : Parce qu’on veut absolument savoir qui s’en prend à cette jeune fille, et pourquoi elle a été formée au combat de cette façon. Est-elle une arme ? Que veulent-ils en faire ? Et surtout, comment va-t-elle se sortir d’un pétrin pareil ?

Sur Prime Original

 

Farah Nadifi

C’est d’abord à une carrière d’avocate que Farah aspire, après avoir eu son bac à Marrakech. Rapidement, néanmoins, sa passion pour la mode la rattrape. Née à Paris où elle vit jusqu’à ses 14 ans, elle baigne dans ce milieu : sa mère fait carrière dans le retail de luxe. Après être passée chez YSL, Salvatore Ferragamo, Giorgio Armani ou encore Miu Miu, elle est approchée pour diriger le premier flagship de luxe à Casablanca : la boutique Fendi. Elle la dirige quatre ans avant de devenir acheteuse pour Gap et Banana Republic. Mais au bout de 10 ans de carrière dans le retail, elle se lance dans une nouvelle aventure en s’essayant à l’écriture. C’est avec Sofia Benbrahim qu’elle collabore d’abord, pour L’Officiel Maroc, puis Shoelifer, en tant que journaliste mode et lifestyle.

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