RABAT : AMARES, L’ÉPICERIE FINE QUI VEUT VOUS FAIRE PRENDRE LA MER

Chez Shoelifer, rien, même la perspective de prendre 3 kilos pendant les fêtes, ne peut nous empêcher de céder aux gourmandises qui passent devant nous. Vous êtes comme nous ? Alors on a bien fait de vous faire partager notre découverte : Amares, une marque spécialisée dans l’élaboration traditionnelle de conserves de poissons. Amateurs de produits fins et d’exception, ce qui suit est pour vous.

On va être honnête avec vous, c’est une marque que nous avons découverte durant le mois de ramadan dernier. Elle nous a accompagné tout le mois, satisfaisant nos envies de gourmandises et nous permettant de servir à nos invités des chhiwates différentes. Alors non, on n’essayait pas de garder le secret, il nous fallait juste une belle occasion festive. 

À la carte

On ne va donc pas faire durer le suspense plus longtemps. Chez Amares, les chances de coup de cœur (et du palais) sont très nombreuses. À commencer par la ventrèche de thon, qui pourrait se manger seule, tellement son assaisonnement est parfait. Les autres spécialités d’Amares ? Les conserves, à base de thon, de sardines, d’anchois, de poulpes, de maquereaux mais aussi de coquillages ou d’anguilles. Les recettes sont toutes exclusives et aucune ne ressemble à une autre. On trouve, par exemple, des anchois marinés au citron et gingembre, de la sardine au poivre vert pour un effet relevé (qui reste très doux), des filets de maquereaux aux petits légumes marinés ou des anguilles sautées à l’ail. Les conserves, conditionnées dans des bocaux de verre ou des boîtes en acier à l’ancienne, font en moyenne 130g pour des prix allant de 25 DH à 70 DH.

Outre les conserves, que l’on vous imagine déjà sélectionner pour vos apéros, on trouve une belle proposition de fumés et de salaisons, parfaits pour la saison. Du saumon, fumé au bois de cèdre ou mariné à l’aneth (110 DH les 200g), du thon séché (le “mojama”) ou fumé (55Dh les 100g) ou encore des anchois en salaison à l’huile d’olive. Pour les fêtes, que ce soit pour offrir (oui, on peut offrir du poisson en boîte quand il est si bon et si bien présenté) ou pour vos diners de fin d’année, Amares propose de larges sélections de paniers garnis, que vous pouvez composer avec vos favoris.

Histoire d’en savoir un peu plus

Amares, on vous le disait plus haut, est un fabricant marocain spécialisé dans l’élaboration traditionnelle de conserves de poissons (thons, sardines, anchois, maquereaux, coquillages ou encore poulpes) mais aussi de saumon et de morue depuis 1986. Longtemps artisan de l’ombre, fournissant les plus grands pays (Espagne, Italie, Allemagne, USA…) et grand connaisseur des produits premium de la mer, Amares a décidé de sortir sa propre gamme de produits avec des recettes uniques, C’est ainsi qu’est née la première épicerie fine à Rabat, il y a deux ans.

Si vous passez par la capitale, vous verrez et sentirez, en passant la porte de la boutique, que vous avez affaire à de grands passionnés. Une aventure familiale et marocaine qui raconte une belle histoire de marins et de pêcheurs. C’est d’ailleurs à cette histoire que rend hommage le nom Amares qui lie les mot Amour (amor en espagnol) et mer (mare, toujours en espagnol).

Amares
Avenue Mohamed VI & Ahmed Balafrej, Centre Commercial Prestige, Rabat
Tél. : +212 5 37 75 49 52

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Farah Nadifi

C’est d’abord à une carrière d’avocate que Farah aspire, après avoir eu son bac à Marrakech. Rapidement, néanmoins, sa passion pour la mode la rattrape. Née à Paris où elle vit jusqu’à ses 14 ans, elle baigne dans ce milieu : sa mère fait carrière dans le retail de luxe. Après être passée chez YSL, Salvatore Ferragamo, Giorgio Armani ou encore Miu Miu, elle est approchée pour diriger le premier flagship de luxe à Casablanca : la boutique Fendi. Elle la dirige quatre ans avant de devenir acheteuse pour Gap et Banana Republic. Mais au bout de 10 ans de carrière dans le retail, elle se lance dans une nouvelle aventure en s’essayant à l’écriture. C’est avec Sofia Benbrahim qu’elle collabore d’abord, pour L’Officiel Maroc, puis Shoelifer, en tant que journaliste mode et lifestyle.

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