LES 10 APPLIS QUE L’ON N’ASSUME PAS

Nous vous en parlions il y a quelques jours, la quarantaine, c’est cool ! Mais on commence tout de même à avoir quelques reflexes – euh non, des applis– un peu middle age. On a même entendu un parent désemparé demander à son ado : “Tu peux m’aider, j’ai cassé ma boîte mail !” Sans aller jusque-là (iOs et Android n’ont aucun secret pour nous), nous avons comparé les applis qui colonisent les smartphones des geeks (jeunes ou pas) et celles que l’on utilise après avoir placé nos lunettes en demi-lune sur le bout du nez (encore une fois, on plaisante, nos super lunettes rondes en écaille). Le tout, au 3e degré, vous l’aurez compris.


 La musique 

S’il y a bien une chose qui ne se ressemble pas, ce sont les goûts musicaux de chaque génération. Faites écouter un rappeur nouvelle génération à un puriste du hip hop, vous aurez une petite idée de l’énorme fossé qui les sépare. Pareil avec le rock ou la pop, d’ailleurs.

La version 2.0. Apple Music (ou même Spotify et Deezer) : une discothèque infinie, qui détermine, selon vos écoutes, vos goûts musicaux et vous propose de nouveaux sons dans le même genre. L’occasion de faire des découvertes. En plus, vous pouvez créer vos playlists personnelles et les partager avec des amis ou d’autres utilisateurs.

La version vintage. Old Time Radio, qui aurait aussi pu s’appeler “C’était mieux avant Radio”. Pour les nostalgiques de la radio à l’ancienne, avec des animateurs qui connaissent leurs dossiers sur le bout des doigts et vous font écouter des inédits sortis de vieux placards de studios d’enregistrement. Celle-là, pour le bien de la communauté, on la partage sans rechigner avec les moins de 40 ans.

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La retouche photo

Ce n’est pas le teint frais des vingtenaires qui a besoin de filtre liftant/enluminant (sauf abus de fêtes). Un peu plus tard, c’est une autre paire de manches.

La version insouciante. C’est le réseau social le plus utilisé par les jeunes : Snapchat. Filtre petit chien ou fleur de tiaré à l’oreille, ils n’ont à se soucier que d’être drôles. Bon, on vous le concède, le rendu n’est pas toujours d’une grande… élégance.

La version chirurgicale. BeautyPlus, ou, autrement dit, le bistouri de la photo. Rides, cernes, boutons, taille, poids, tout y passe. S’assumer telle que l’on est, c’est bien, avec la peau un peu plus nette, c’est bien aussi. Avouons-le.

 

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Les jeux

Les jeux en ligne sont un peu le thermomètre de la branchitude 2.0. Vous êtes encore scotchés à Candy Crush ou à Pokémon Go (eh oui, les adultes aussi) ? Cela détermine votre niveau de geek. Et qui dit geek, dit forever young.

Le plus in. The Elder Scrolls : Blades. En tout cas, c’est ce que google dit. Personnellement, je n’en sais rien, je joue moins “in”. Plus sérieusement, si vous êtes adeptes de jeux historiques et d’action, c’est ce qu’il vous faut.

Disponible sur Google play

Le moins in. Ruzzle, un jeu de formation de mots, chronométré avec une interface digne des années 80, un avatar ridicule et un son insupportable. On peut jouer en ligne avec de parfaits inconnus, comparant nos capacités à trouver le maximum de mots en 1 minute 30. Idéale pour se faire humilier par des “GertrudeDu78158”.

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Les blocs-notes

C’est aussi ça, un smartphone : un assistant personnel. Il y a deux versions tout de même, l’assistant des hommes/femmes d’affaires qui cumulent les rendez-vous business, et l’assistant infirmier.

La version pro. “Rappel”, sur iPhone. On note le jour, l’heure, le lieu, et on a le choix entre recevoir une notification de rappel ou tout simplement, de vérifier son agenda quotidien.

La version “nurse”. MyTherapy. Elle vous rappelle de bien prendre vos médicaments et de ne pas oublier vos rendez-vous chez le kiné et l’ophtalmo. Glamour à souhait.

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Le dating

C’est peut-être le plus gênant. Nos générations (et les précédentes) sont si naïves qu’elles se persuadent que l’amour 2.0 se trouve en tapant “qui est l’amour de ma vie ?” sur Google. Comme si Google était une personne ! D’ailleurs, cette vidéo hilarante nous montre ce qui se passerait si Google était une personne…

La plus directe. Arrivée après Tinder, Bumble est une appli de rencontre “new generation”, menée par les femmes. Sachez-le messieurs, ici c’est madame qui mène le jeu. Vous ne pouvez pas entrer en contact avec les jolis minois qui vous plaisent. Ça change… avouez-le.

La moins cohérente. Facebook. Oui, nombreux sont ceux qui pensent que Facebook est un site de rencontre. Messages en rafale, déclarations enflammées sur la base d’une simple photo de profil, demandes en mariage subites, etc. Il devient très compliqué d’échapper aux demandes “d’amis” à la recherche de l’âme sœur. Par ailleurs, l’alternative, en ce moment, est le message aléatoire via whatsApp…

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Farah Nadifi

C’est d’abord à une carrière d’avocate que Farah aspire, après avoir eu son bac à Marrakech. Rapidement, néanmoins, sa passion pour la mode la rattrape. Née à Paris où elle vit jusqu’à ses 14 ans, elle baigne dans ce milieu : sa mère fait carrière dans le retail de luxe. Après être passée chez YSL, Salvatore Ferragamo, Giorgio Armani ou encore Miu Miu, elle est approchée pour diriger le premier flagship de luxe à Casablanca : la boutique Fendi. Elle la dirige quatre ans avant de devenir acheteuse pour Gap et Banana Republic. Mais au bout de 10 ans de carrière dans le retail, elle se lance dans une nouvelle aventure en s’essayant à l’écriture. C’est avec Sofia Benbrahim qu’elle collabore d’abord, pour L’Officiel Maroc, puis Shoelifer, en tant que journaliste mode et lifestyle.

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