CONFINEMENT, SEMAINE 1: RIRE MALGRÉ LE COVID-19

Comme diraient les enfants : “Pouce”! Faisons une pause pour oublier un instant les news dramatiques et l’ambiance anxiogène qui se propagent aussi vite, sinon plus, qu’un minuscule virus dont le nom est sur toutes les lèvres: le coronavirus Covid-19. Sur les réseaux sociaux, entre les fake news, les infos sérieuses et les débats virulents, on trouve tout de même de quoi se détendre. Car si le confinement n’est facile pour personne, certains en profitent pour lâcher la bride à leur créativité et leur sens de l’humour. Florilège des vannes, sur Twitter, Facebook ou Instagram, qui nous ont fait sourire et même rire.

I’ll be there for you

Si vous êtes un fan de la série Friends, vous vous rappelez forcément de cette scène historique pendant laquelle Phœbe essaie d’enseigner le français à Joey, qui est totalement à côté de la plaque. Ici, cette scène a été reprise avec la fameuse consigne de sécurité “Restez chez vous” que Joey traduit par “Sortez faire un pique-nique”. On comprend mieux ce qui se passe dans la tête de certaines personnes…


Nos chers voisins

Vrai ou pas, ce tweet nous a bien fait rire. Le voisin de cet internaute a au moins une chose pour lui : de l’autorité !

Happy Family

Ce “meme”, photo extraite du film d’épouvante The Shining est une excellente illustration de la manière dont le confinement peut tourner quand on est en famille. Un conseil : si la référence ne vous dit rien, ne regardez pas le film en ce moment…


Nouvelles rencontres

Cet internaute anglophone fait la rencontre d’une personne pendant son confinement. Elle s’appelle “Maman” et il la trouve bien bruyante.

Engagée

Cynique ? Peut-être. Mais cette utilisatrice twitter a raison…

Ça va être long

Obtenir un rendez-vous auprès de certains spécialistes demandait parfois de longs mois d’attente. A la sortie de ce confinement, leurs agendas seront pleins jusqu’en 2035.

Les nouveaux ophtalmos

Vous vous rappelez comme vous aviez du mal à obtenir un rendez-vous chez LE médecin star ? Attendez-vous aux mêmes files chez les coiffeurs et esthéticiennes.

Papa, on est encore loin ?

Et au point où on en est, l’iPhone 12 risque, en effet, de sortir avant nous.


Poubelles is the new foot

Et oui, c’était si dur de faire sortir les poubelles par les enfants ! Voilà un problème que le confinement a réglé.

 

Survivors

On regardait les spécialités tunisiennes d’un œil condescendant ? Plus maintenant. Une chose que l’on ne pourra pas leur enlever, c’est que grâce à ces mets, ils nous survivront.

Quand on a fini sa bibliothèque

En voilà une qui a épuisé toutes les activités possibles en confinement.


Générosité

Avoir la paix a désormais un prix : celle d’une amende.

 

Une de plus ou de moins

Quand on ajoute une heure, on est confinés plus ou moins ?

Farah Nadifi

C’est d’abord à une carrière d’avocate que Farah aspire, après avoir eu son bac à Marrakech. Rapidement, néanmoins, sa passion pour la mode la rattrape. Née à Paris où elle vit jusqu’à ses 14 ans, elle baigne dans ce milieu : sa mère fait carrière dans le retail de luxe. Après être passée chez YSL, Salvatore Ferragamo, Giorgio Armani ou encore Miu Miu, elle est approchée pour diriger le premier flagship de luxe à Casablanca : la boutique Fendi. Elle la dirige quatre ans avant de devenir acheteuse pour Gap et Banana Republic. Mais au bout de 10 ans de carrière dans le retail, elle se lance dans une nouvelle aventure en s’essayant à l’écriture. C’est avec Sofia Benbrahim qu’elle collabore d’abord, pour L’Officiel Maroc, puis Shoelifer, en tant que journaliste mode et lifestyle.

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