SOIRÉE FILM : NOS HISTOIRES D’AMOUR PRÉFÉRÉES

Parce qu’après l’euphorie des fêtes on a envie d’hiberner et qu’il ne se passe pas grand-chose, voici cinq des plus belles histoires d’amour à (re)voir chez soi. On se met en condition pour vibrer, faire le plein d’émotions et… verser quelques larmes.

Le mélodrame culte : Love Story de Arthur Hiller (1970) avec Ryan O’Neal et Ali Mac Graw.

Pourquoi on le (re)voit : Parce que ce film adapté du roman d’Eric Segal (un professeur de lettres diplômé de Harvard) est un classique qu’on doit avoir vu au moins une fois dans sa vie. Et on ne s’en lasse pas.

Pour qui ? Celles qui aiment les histoires d’amour tristes.

Le synopsis: Oliver est riche, protestant et il étudie à Harvard. Jennifer, descendante d’immigrés italiens, est catholique et étudie à Radcliffe. Ils s’aiment et se marient malgré la désapprobation du père d’Oliver. Ils vivent de petits boulots pendant quelques mois, le temps qu’Oliver obtienne son diplôme de droit et déménagent ensuite à New-York. Malheureusement leur histoire d’amour va être bouleversée par la maladie de Jennifer.

On le regarde quand ? Pour ne pas perdre une miette de cette love story mythique et tragique qui a fait pleurer le monde entier (et continue encore) et ne pas devoir prétexter une imaginaire allergie aux yeux on se la joue égoïste et on la regarde seule sous la couette. Et on n’oublie pas les renforts : puisque la majeure partie du film se déroule dans l’enceinte de l’université d’Harvard à Boston, on se prépare un plateau made in America en mode junk food à haut pouvoir réconfortant avec hamburger, ice cream… et boîte de kleenex à proximité.

Attention, on évite de le regarder un dimanche soir pour ne pas se plomber le début de semaine.

Le plus romantique : Orgueil et préjugés (2006) de Joe Wright avec Keira Knightley, Matthew MacFadyen, Talulah Riley.

Pourquoi on le (re)voit : parce que cette histoire d’amour à l’eau de rose adaptée du roman éponyme de Jane Austen rend heureuse. Et la tension hormonale perpétuelle entre Darcy et Elizabeth nous tient en haleine du début à la fin.

Pour qui ? Les grandes romantiques et celles qui aiment les films en costume et la campagne anglaise.

Le synopsis: Dans un petit village d’Angleterre, sous le règne de George III, Mrs. Bennet veut marier ses filles afin de leur assurer un avenir serein. L’arrivée de nouveaux voisins, Mr. Bingley et son ami Mr. Darcy, plonge Jane et Elisabeth dans des affaires de cœur tumultueuses. Cette dernière découvre l’amour en rencontrant le bel aristocrate Darcy. Pourtant, tous deux devront passer outre leur orgueil, leurs préjugés et les quiproquos qui s’ensuivent avant de tomber dans les bras l’un de l’autre…

On le regarde quand ? Avec ses paysages lumineux et son happy end, on se le réserve pour une après-midi pluvieuse, seule ou en famille devant une tasse de thé et des scones.

Le plus cheesy : l’Arnacoeur (2010) de Pascal Chaumeil avec Romain Duris, Vanessa Paradis.

Pourquoi on aime ? Parce que même si le film contient pas mal de clichés, c’est drôle, léger et qu’on ne peut pas s’empêcher de sourire bêtement du début à la fin.

Pour qui ? Les fans de Dirty Dancing et celles qui veulent voir la vie en rose.

Le pitch : Votre fille sort avec un sale type ? Votre sœur s’est enlisée dans une relation passionnelle destructrice ? Aujourd’hui, il existe une solution radicale, elle s’appelle Alex. Son métier : briseur de couple professionnel. Sa méthode : la séduction. Sa mission : transformer n’importe quel petit ami en ex. Mais Alex a une éthique, il ne s’attaque qu’aux couples dont la femme est malheureuse. Alors pourquoi accepter de briser un couple épanoui de riches trentenaires qui se marie dans une semaine ?

On le regarde quand ? On le garde en back-up, et on le (re)sort après une dure journée, seule, en famille ou même avec son chéri. Et on le regarde lovée sur le canap’ avec un plateau de fromage à proximité pour la french touch, car si une grande partie du film a été tournée à Monaco, ça reste quand même la plus frenchy des comédies.

Le plus triste : PS I Love you (2008) Réalisé par Richard LaGravenese avec Hilary Swank, Gerard Butler…

Pourquoi on aime ? Parce que ce mélo tragique (adaptation du best-seller éponyme de la romancière irlandaise Cecelia Ahern) est super émouvant.

Pour qui ? Les éternelles romantiques et celles qui ont envie de pleurer toutes les larmes de leur corps.

Synopsis : Holly et Jerry sont un couple amoureux menant une vie faite d’engueulades et de réconciliations. A la suite de la mort soudaine de Jerry, Holly sombre dans la dépression. C’est alors qu’elle reçoit une lettre, la première d’une série de dix, rédigée par Jerry avant sa mort.

On le regarde quand ? A l’occasion d’une soirée entre filles avec pop corn et crème glacée version XXL.

Le plus passionnel : Loin de la foule déchainée (2015) de Thomas Vinterberg avec Carey Mulligan et Matthias Schoenaerts.

Pourquoi on aime ? Parce que cette histoire d’amour (adaptée du roman de Thomas Hardy) dans l’Angleterre victorienne fait grimper la température et est d’une beauté et d’une sensibilité extrêmes. Enfin Matthias Schoenaerts est super hot.

Pour qui ? Les fleurs bleues, les fans de poésie, d’histoires torturées et romanesques.

Synopsis : Dans la campagne anglaise de la fin du XIXe siècle, Bathsheba Everdene est une jolie femme qui vient d’hériter de la ferme de son oncle. Libre et indépendante, elle dirige l’exploitation avec dextérité et décide d’en assumer seule la gestion, provoquant le doute et l’insatisfaction de ses ouvriers. Résolue à se marier uniquement par amour plutôt que pour un quelconque arrangement conventionnel, elle témoigne en plus de sa beauté d’une assurance et d’une autonomie qui séduisent rapidement le jeune et honnête berger Gabriel Oak. Mais Bathsheba est bientôt tiraillée entre deux autres prétendants : le riche voisin Boldwood et le séduisant sergent Troy…

On le regarde quand ? Lors d’une soirée cocooning, avec des chocolats. Et si on est à deux, pourquoi pas des douceurs aphrodisiaques comme du chocolat au gingembre ou des fraises ?

Alixanne Chapon

Anxieuse de nature, quand elle n’écrit pas pour se défouler Alixanne passe la majeure partie de son temps à arpenter les rues de Paris à la découverte de bons plans, à chiner –la déco étant l’une de ses passions–, ou tout simplement à deviser des heures durant (toujours sur des sujets hautement philosophiques bien sûr) avec ses ami(e)s. Elle a commencé à écrire il y a plus de huit ans au Maroc, son pays natal –et de coeur. Depuis quatre ans, elle vit dans le 12e arrondissement de la capitale française et a collaboré avec de nombreux supports (So chic, Capital, Management, 7X7.press, etc.). Ce qui ne l’empêche pas de rentrer régulièrement à Casablanca et Marrakech afin de retrouver les siens et de se mettre au vert…

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