INFOS INSOLITES : TOUT CE QUE VOUS AVEZ RATÉ !

Envie d’actus qui changent, qui vous font sourire, rire, vous interroger ou même voyager ? Voici 4 infos surréalistes qui valent leur pesant d’or.

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‘Phéramor’ l’appli de dating tout sauf romantique qui se base sur… votre ADN !

Après des applis aussi dingues que Gleeden (cette appli de rencontre extra conjugale qui démocratise, voire encourage l’infidélité) and Co, on pensait avoir tout vu. C’était sans compter Phéramor : une nouvelle appli lancée aux Etats-Unis qui tire son nom de la contraction des mots ‘phéromones’ et ‘amour’ et n’a rien trouvé de mieux que de se baser sur la compatibilité génétique pour vous dégoter l’âme sœur. Comment ça marche ? A priori, c’est simple, pour 29,99 dollars, Phéramor vous envoie un kit de prélèvement buccal. Puis, en se basant sur votre activité sur les réseaux sociaux et votre ADN, l’appli vous propose des profils compatibles avec le vôtre. Pour cela, 11 gènes en lien avec les phéromones, ces substances chimiques qui créent l’attraction sexuelle, sont isolés. Ça peut sembler pragmatique, mais certains scientifiques sont sceptiques : il n’y a aucune preuve réelle que ça marche véritablement. Il faut donc accepter de servir de cobaye.
www.pheramor.com

Pour faire une détox numérique : “l’Instagram-sitter”

 Après tout, il existe bien des baby-sitters pour s’occuper de nos progénitures pendant les vacances et nous permettre de lever le pied, alors pourquoi n’y en aurait-il pas pour cajoler notre compte Insta pendant qu’on bronze, les doigts de pied en éventail ? C’est l’idée surprenante –et pas si farfelue que ça– qu’a eue le groupe hôtelier Accor en novembre et décembre 2018 en expérimentant un service “d’Instagram-sitter”. Destiné aux clients de ses hôtels Ibis à Genève et Zurich et baptisé “Relax we post” ce service gratuit confie votre profil à des influenceurs confirmés qui se chargent de poster du contenu à votre place. En bonus, vous pouvez profiter de l’instant présent (et parler à votre compagnon de vacances ou votre voisin de table), sans vous soucier de disparaître des écrans radars. Et voir même votre cote de popularité exploser puisque ce service est effectué par de vrais pros. La seule condition d’utilisation (encore faut-t-il l’assumer) : les photos postées par ce service doivent être accompagnées de la mention #PostedBySocialMediaSitter. Votre moitié est une vraie addict d’Insta ? Ne criez pas victoire trop vite, il faudra patienter avant de pouvoir tester l’Instagram-sitter : pour l’instant, le groupe ne dit pas quand l’expérience sera renouvelée.
www.relaxwepost.ch/fr

Au Japon, un bar éphémère avec vue sur… ordures !

Après les photos choc du #10yearschallenge détournées par les défenseurs de l’environnement, on ne peut que saluer cette nouvelle initiative militante et radicale pour sensibiliser la population tokyoïte au problème de la surconsommation. Baptisé Gome Pit (ce qui signifie “fosse à ordures”), ce nouveau bar situé en plein centre de Tokyo a pour particularité d’être situé au cœur d’un centre de traitement des déchets. Une usine qui a traité plus de 27.000 tonnes d’ordures en 2018. On y sirote un cocktail et on grignote un bout avec une belle vue, à travers la grande baie vitrée, sur l’incinérateur. Pas sûr que ça ouvre l’appétit.

Musashino Clean Center 3 Chome 1-5 Midoricho, Musashino, Tokyo

En Chine les femmes célibataires ont davantage de congés

Ça nous ferait presque rêver : le parc d’attractions de Hangzhou, en Chine, offre huit jours de congés supplémentaires à certaines de ses employées à l’occasion du nouvel an pour qu’elles passent plus de temps chez elles, leur donnant ainsi plus de chance de rencontrer l’âme sœur. En voilà une idée qui a l’air bonne, sauf que pour en bénéficier, il faut être célibataire bien sûr, mais aussi avoir plus de 30 ans. Car en Chine, à cet âge, votre date de péremption est déjà dépassée : après 27 ans, les célibataires sont baptisées les “Sheng nu” (littéralement, “les filles qui restent”) et sont considérées comme peu désirables.

Alixanne Chapon

Anxieuse de nature, quand elle n’écrit pas pour se défouler Alixanne passe la majeure partie de son temps à arpenter les rues de Paris à la découverte de bons plans, à chiner –la déco étant l’une de ses passions–, ou tout simplement à deviser des heures durant (toujours sur des sujets hautement philosophiques bien sûr) avec ses ami(e)s. Elle a commencé à écrire il y a plus de huit ans au Maroc, son pays natal –et de coeur. Depuis quatre ans, elle vit dans le 12e arrondissement de la capitale française et a collaboré avec de nombreux supports (So chic, Capital, Management, 7X7.press, etc.). Ce qui ne l’empêche pas de rentrer régulièrement à Casablanca et Marrakech afin de retrouver les siens et de se mettre au vert…

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