5 SACS ORIGINAUX POUR CE PRINTEMPS 2020

Juste quand on commence à se dire que l’on a tout vu, les créateurs innovent et arrivent à nous surprendre, une fois encore. Et à l’instar des chaussures, ce printemps 2020, les sacs aussi font dans le décalé. Voici 5 modèles qui nous ont tapé dans l’œil. Avec eux, vous ne passerez pas inaperçue !

Sur les podiums qui, contrairement à l’hirondelle, annonçaient ce printemps 2020, les sacs ont autant fait le show que les sœurs Hadid. Des demi-cercles aux anses en cuir torsadé, chez Balmain, les sacs évoquent des potelets chargés de protéger l’accès à quelque chose de précieux (vous ?). Chez Chanel, c’est le sens qui change : le sac, qui prend une allure de trousse, se porte sur le flanc et la chaîne incrustée du fameux tweed est mise en avant. Quant à Virgil Abloh, avec sa marque Off White, il semble avoir décidé de se moquer –gentiment– de nous. Certes, son sac est oversized, mais il est surtout troué comme un gruyère. Oui, sûrement une allusion à nos poches, c’est comme ça qu’on le prend.

Vous ne savez pas où passer vos prochaines vacances ? Pas de problème, laissez de côté Google, il n’y a qu’à faire tourner votre sac à main, puis pointer une destination : la maison japonaise Sacai, pour qui l’inspiration principale, cette saison, est le voyage, a imaginé un sac en forme de globe. Enfin, notre coup de cœur de fan des eighties est pour la cassette VHS de Louis Vuitton. Nicolas Ghesquière nous touche droit au cœur avec cet objet que les nouvelles générations ne peuvent même pas identifier. Petit détail qui fait tout, le logo LV est inscrit avec la typo et les couleurs emblématiques de la marque VHS. Souvenirs, souvenirs.

 

 

Balmain, Printemps – Été 2020         

 

 

Chanel, Printemps – Été 2020

 

Off-White, Printemps – Été 2020

 

Sacai, Printemps – Été 2020

 

Louis Vuitton, Printemps – Été 2020
Farah Nadifi

C’est d’abord à une carrière d’avocate que Farah aspire, après avoir eu son bac à Marrakech. Rapidement, néanmoins, sa passion pour la mode la rattrape. Née à Paris où elle vit jusqu’à ses 14 ans, elle baigne dans ce milieu : sa mère fait carrière dans le retail de luxe. Après être passée chez YSL, Salvatore Ferragamo, Giorgio Armani ou encore Miu Miu, elle est approchée pour diriger le premier flagship de luxe à Casablanca : la boutique Fendi. Elle la dirige quatre ans avant de devenir acheteuse pour Gap et Banana Republic. Mais au bout de 10 ans de carrière dans le retail, elle se lance dans une nouvelle aventure en s’essayant à l’écriture. C’est avec Sofia Benbrahim qu’elle collabore d’abord, pour L’Officiel Maroc, puis Shoelifer, en tant que journaliste mode et lifestyle.

Pas Encore De Commentaires

Laisser une Réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.