MODE : DERNIER LOOK DE L’ANNÉE 2018

C’est vrai, toute l’année vous lisez ça et là que “less is more”, que tout est dans le (savant) dosage et la finesse. Mais pas pour la Saint-Sylvestre. Cette année, à défaut de s’offrir un feu d’artifice à la maison pour le réveillon, c’est notre look qui sera pyrotechnique !

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Pour dire bye-bye 2018, hello 2019, la petite robe noire, éternelle sauveuse de soirée, sera sur son 31 : en smoking, avec des boutons en strass. On l’a repérée sur le podium d’YSL par Anthony Vaccarello, mais aussi dans une version scintillante avec épaules XXL chez Olivier Rousteing pour Balmain. Chez Shoelifer, on la valide à 100%. Pourquoi ? Parce qu’elle est sexy sans être vulgaire, parce qu’elle permet d’affirmer une personnalité bien trempée sans pour autant faire fuir son entourage, et parce qu’enfin, elle fait briller celle qui la porte.

Autour de cette robe, on joue à notre jeu préféré, celui de “l’accessoirisation”. Pour ce faire, un seul mot d’ordre, ou plutôt, trois : stackez, stackez, stackez. Et “shine bright like a diamond” ! C’est le 31, c’est la dernière soirée de l’année, alors au diable les codes et la mesure, on y va, on joue le jeu à fond et on scintille : on n’y va pas avec le dos de la cuillère sur les strass et clous dorés, du sac aux shoes, des oreilles aux poignets. Pour une fois, pas de choix cornélien à faire entre le bracelet, le collier ou les boucles d’oreilles. Prenez ce que vous avez, accumulez et faites-vous plaisir en ajoutant quelques nouveautés. Voici nos coups de cœur du moment. Allez, répétez après moi : ce soir, vous êtes une étoile filante. Celle que l’on suit du doigt quand elle traverse le ciel.

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Farah Nadifi

C’est d’abord à une carrière d’avocate que Farah aspire, après avoir eu son bac à Marrakech. Rapidement, néanmoins, sa passion pour la mode la rattrape. Née à Paris où elle vit jusqu’à ses 14 ans, elle baigne dans ce milieu : sa mère fait carrière dans le retail de luxe. Après être passée chez YSL, Salvatore Ferragamo, Giorgio Armani ou encore Miu Miu, elle est approchée pour diriger le premier flagship de luxe à Casablanca : la boutique Fendi. Elle la dirige quatre ans avant de devenir acheteuse pour Gap et Banana Republic. Mais au bout de 10 ans de carrière dans le retail, elle se lance dans une nouvelle aventure en s’essayant à l’écriture. C’est avec Sofia Benbrahim qu’elle collabore d’abord, pour L’Officiel Maroc, puis Shoelifer, en tant que journaliste mode et lifestyle.

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