MODE : 8 ROBES D’INSPIRATION SEVENTIES POUR LE PRINTEMPS 2020

Les beaux jours s’annoncent et avec eux l’envie de porter des tenues légères. Alors oui, la robe à fleurs est le plus grand pléonasme de la mode, mais elle peut s’éloigner des clichés en empruntant d’autres références. Les seventies, par exemple. Nous avons sélectionné 8 modèles (pour tous les budgets) qui s’inspirent de l’époque bénie du flower power, tendance forte du printemps 2020.

Blanche et en dentelle française, un peu juvénile, chez Maje. Idem chez Zara, avec une robe ornées de fleurs jaunes brodées. Pour estomper le côté enfantin de ces pièces, on les porte avec des bottines en daim, façon cow girloff duty”. Chez Manoush, spécialiste du kitsch revisité, on joue la carte de l’imprimé seventies au maximum, avec un tissu que l’on imaginerait presque aux fenêtres de vieux appartements de l’époque. Celine, Saint Laurent Paris, Isabel Marant ou même Massimo Dutti, quant à eux, invoquent les seventies chic, inspiration Studio 54 : on fait la fête, on est bohème, mais toujours avec un maximum d’élégance. Le col est une écharpe en soie, l’imprimé cachemire est rehaussé de velours et les broderies sont en fil d’or.
Enfin, chez Gucci, on convoque encore un autre chic avec une robe qui aurait pu être portée par une journaliste new-yorkaise chassant les infos avec pugnacité mais non sans classe. Alors ? Quelle robe seventies serez-vous ?

Zara, 999 DH

Isabel Marant, 14.000 DH

Maje, 3100 DH

Massimo Dutti, 1595 DH

Manoush, env. 1900 DH

Celine, 24.000 DH

Saint Laurent Paris, 82.000 DH

 

Farah Nadifi

C’est d’abord à une carrière d’avocate que Farah aspire, après avoir eu son bac à Marrakech. Rapidement, néanmoins, sa passion pour la mode la rattrape. Née à Paris où elle vit jusqu’à ses 14 ans, elle baigne dans ce milieu : sa mère fait carrière dans le retail de luxe. Après être passée chez YSL, Salvatore Ferragamo, Giorgio Armani ou encore Miu Miu, elle est approchée pour diriger le premier flagship de luxe à Casablanca : la boutique Fendi. Elle la dirige quatre ans avant de devenir acheteuse pour Gap et Banana Republic. Mais au bout de 10 ans de carrière dans le retail, elle se lance dans une nouvelle aventure en s’essayant à l’écriture. C’est avec Sofia Benbrahim qu’elle collabore d’abord, pour L’Officiel Maroc, puis Shoelifer, en tant que journaliste mode et lifestyle.

Pas Encore De Commentaires

Laisser une Réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.