VOYAGE : 5 ADRESSES À SÉVILLE

Oups… Vous n’avez pas planifié votre été dès le mois de janvier ! On ne vous juge pas, on est comme vous. Et maintenant se pose la sempiternelle question : partir à l’autre bout du monde, à quelques kilomètres ou juste en face (littéralement) ? Car on peut découvrir de nouveaux horizons sans traverser la moitié de la planète. Notre idée : traverser le Détroit, tout simplement, pour se poser à Séville, histoire de changer de Marbella. Eh oui, Séville, perle du sud, carrefour historique des civilisations où il fait bon se balader, manger et danser… Suivez le guide.

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On dort où?

Au Palacio de Villapanés, qui, comme son nom l’indique, est un ancien palais particulier, plein de charme et très bien situé. Il est installé dans une bâtisse du 18e siècle, comme en témoignent les hauteurs sous plafond. La décoration des chambres est parfois un peu trop moderne mais reste d’un grand confort. Quant au rooftop, c’est une véritable carte postale avec vue panoramique sur la vieille ville.
Calle Santiago, 31, Sevilla.
Tél. : +34 954 50 20 63

En montant un peu plus en gamme, l’Alfonso XIII (5 étoiles), hôtel des années 30, est un joyau de confort, de déco, de gastronomie, situé à quelques minutes à pied des hot spots de Séville (le palais royal de l’Alcazar ou la cathédrale). Ne ratez surtout pas la table de l’hôtel, sur le toit : c’est le restaurant le plus réputé de la région.
Calle San Fernando, 2, Sevilla.
Tél. : +34 954 91 70 00

On visite quoi ?

Séville regorge d’histoire avec un grand H. Les traces de son passé wisigoth, islamique ou chrétien, sont partout, dans chacune des ruelles de la vieille ville. Bref, c’est ce qu’on appelle un musée à ciel ouvert. Mais ce n’est pas une raison pour négliger de visiter le Museum Of Fine Arts, un des premiers musées des Beaux-Arts espagnols. Cet ancien couvent abrite une incroyable collection de peintures, notamment des œuvres de Velasquez, Goya ou El Greco, mais aussi de sculptures et de dessins.
Pl. del Museo, 9, Sevilla
Tél. : +34 955 54 29 42

On se balade où ?

À Séville, on oublie le shopping premier degré. On se balade dans les marchés. Si vous suivez les Sévillans qui vont faire leurs courses, le matin, vous atterrirez sans doute au marché Lonja del Barranco. Un marché gourmet où l’on trouve la crème de la crème des produits du terroir andalou. On vous aura prévenus, mangez léger au petit-déjeuner. Car si vous y traînez jusqu’au déjeuner, plus de 20 stands de restauration, tous plus alléchants les uns que les autres sauront combler votre appétit.
Ouvert de 7h à minuit
Calle Arjona, s/n, Sevilla
Tél. : +34 954 22 04 95

On dîne où ?

L’appétit vient en mangeant, dit-on, et après le festin du marché de Lonja, il faudra passer à table… pour dîner. Passer en Espagne, à Séville de surcroît, sans déguster des tapas serait un crime. Et pour ça, on a déniché THE spot, adulé des habitants : El Rinconcillo. Une institution plus que cinquantenaire, où règne la proverbiale ambiance festive ibérique et où l’on mange bien, pour un budget plus que raisonnable (entre 25 et 40 euros pour plusieurs tapas et du vin).
Calle Gerona, 40, Sevilla
Tél. : +34 954 22 31 83

On sort où ?

C’est sur le toit de l’Hôtel Fontecruz (boutique-hôtel hype et chic qui fait face à la cathédrale), que l’on trouve le rooftop le plus cool du coin. Bohème et chiquissime, vous profiterez d’une ambiance latina –mais plus costaricienne qu’espagnole– le tout au bord d’une immense piscine.
Calle Segovia, 6, Sevilla
Tél. : +34 954 22 94 95

Farah Nadifi

C’est d’abord à une carrière d’avocate que Farah aspire, après avoir eu son bac à Marrakech. Rapidement, néanmoins, sa passion pour la mode la rattrape. Née à Paris où elle vit jusqu’à ses 14 ans, elle baigne dans ce milieu : sa mère fait carrière dans le retail de luxe. Après être passée chez YSL, Salvatore Ferragamo, Giorgio Armani ou encore Miu Miu, elle est approchée pour diriger le premier flagship de luxe à Casablanca : la boutique Fendi. Elle la dirige quatre ans avant de devenir acheteuse pour Gap et Banana Republic. Mais au bout de 10 ans de carrière dans le retail, elle se lance dans une nouvelle aventure en s’essayant à l’écriture. C’est avec Sofia Benbrahim qu’elle collabore d’abord, pour L’Officiel Maroc, puis Shoelifer, en tant que journaliste mode et lifestyle.

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