RABAT SQUARE FAIT DANSER LA CAPITALE

À peine un mois après le lancement des Résidences Fairmont, le groupe Eagle Hills Maroc a de nouveau rassemblé les R’batis pour présenter son tout nouveau projet : Rabat Square. Rendez-vous était pris, le 21 avril dernier au cœur du très prestigieux quartier de l’Orangeraie, à Dar Es Salam. C’est là que les happy few (voir diaporama ci-dessous) ont découvert, sur site, le futur complexe résidentiel de prestige.
Le concept : donner l’illusion d’une vie de quartier, dans le futur square : bâches murales du projet en trompe-l’œil, restaurant éphémère –Le Blend Casablanca–, bar lounge, stand de glaces Ambrosio, photomaton… Le clou de cette véritable célébration urbaine ? Le spectacle de la troupe du fameux cabaret parisien Aux Trois Mailletz, qui a enflammé la piste, jusque tard dans la nuit.
Porté par le groupe émirati Eagle Hills, Rabat Square est un projet unique en son genre : 12 immeubles comprenant 104 appartements –un ou deux par étage seulement– de 60 m2 à 250 m2. Les futurs propriétaires jouiront de prestations innovantes, comme un service de conciergerie et une réception, à l’image des immeubles de luxe américains. Surtout, Rabat Square, dont la commercialisation a démarré ce 22 avril pour une livraison en 2019, est conçu comme un quartier, véritable lieu de vie et de rencontres, avec un boutique-hôtel, des commerces et des espaces de restauration. C’est justement cet esprit partage et de convivialité qui a inspiré la soirée de lancement. Ou comment faire la fête et se surprendre à imaginer une nouvelle façon de vivre…

Revivez en images la soirée de lancement de Rabat Square.

Fatima Haim

Après des études d’histoire et de journalisme, elle est tombée dans la marmite de la pub et de l’édition, un peu par hasard, en collaborant avec différentes agences. Une fois dissipé l’effet « potion magique », le journalisme la rattrape. Elle papillonne alors dans différents supports : FDM, Afrique Magazine, L’Officiel… Car en 2014, cette parisienne (d’adoption) s’était rendue à Casablanca pour y passer quelques jours. Elle y est encore! Toujours en quête d’air pur (et iodé), pour buller en terrasse ou se déconnecter à coups de longues marches.

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