TROUSSE DE MAQUILLAGE : MÉNAGE DE PRINTEMPS

Oubliez le vanity débordant de produits qui trône dans l’armoire de salle de bain. La trousse de maquillage, c’est cette pochette nomade aux allures de plumier qu’on retrouve dans tous les sacs à main des beautystas. On y met quoi, au juste ? Le nécessaire. Et on jette le superflu.

Le mascara : je jette
On sort sa trousse de make-up pour rafistoler sa jolie bouille entre deux rendez-vous. Or, le meilleur moyen de ruiner un maquillage des yeux est de remettre du mascara. Gros paquets assurés.

Le peigne : je garde
Obligatoire pour rafraîchir sa coiffure (notamment la nuque et les mèches qui encadrent le visage). On le choisit petit et idéalement en bois pour éviter l’électricité statique.

L’anticernes : je garde
Oui à l’anticernes, à choisir dans une texture crémeuse. Le top serait de mettre dans sa trousse un pinceau enlumineur qui, en plus d’apporter de la lumière là où il faut, atténue les cernes, les rougeurs et les autres petits bobos apparus pendant la journée.

L’hydratant à lèvres : je jette
Le petit étui bleu Labello, le soin Crème de Huit Heures d’Elizabeth Arden ou encore le légendaire baume Carmex n’ont strictement rien à faire dans une trousse de maquillage. Le meilleur moyen de prévenir le dessèchement des lèvres pendant la journée serait, de l’avis des spécialistes, de porter du rouge à lèvres ! La raison est simple : avec un rouge, on évite de passer la langue sur ses lèvres. Et comme ce geste est le principal responsable du dessèchement, vous connaissez la suite.

Le rouge à lèvres : je garde
Ici, il s’agit de votre rouge à lèvres, la nuance que vous achetez depuis des lustres et que vous pouvez appliquer les yeux fermés. Après la pause-déjeuner, veillez toujours à vous démaquiller totalement les lèvres avant de réappliquer votre rouge. Ce qui nous amène au point suivant…

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Le coton-tige : je garde
Indispensable, le coton-tige. Légèrement enduit de crème hydratante, il permet de démaquiller les yeux et les lèvres, de rectifier un tracé de rouge à lèvres et de corriger ou d’appliquer un fard à paupières.

Le crayon à yeux : je jette
Il n’a rien à faire dans une trousse nomade. Préférez un fard à paupières pour un effet plus naturel et une application simple et rapide, au doigt ou au coton-tige.

Le blush : je garde
Si vous ne devez garder qu’un seul produit, ce serait celui-là. Le blush, c’est l’assurance bonne-mine en trente secondes. La nuance à choisir ? Un bois de rose. La poudre bronzante en guise de blush est une excellente alternative aussi.

Le fond de teint : je jette
Un fond de teint dans une trousse ? Bof. Car il faut passer par la case démaquillage complet avant d’en remettre (oui, c’est obligatoire). Et souvent, le temps manque…

Une poudre compacte : je garde
Une trousse de make-up digne de ce nom comporte une poudre compacte pour des raccords en cours de journée. La retouche consiste à appliquer la poudre uniquement sur la zone médiane (front, nez et menton). Sinon, effet masque garanti. L’idéal ? Appliquer avant de repoudrer un papier absorbant histoire d’éliminer le sébum.

Une crème hydratante : je garde
Impossible de passer outre puisqu’un bon soin de jour permet de se démaquiller, d’hydrater les pommettes (une des premières zones à se dessécher) avant d’appliquer le blush ou encore de discipliner et faire briller ses sourcils ou ses pointes. Inutile de trimbaler votre pot de 50 ml : un échantillon suffit.

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Shoelifer Team

Professionnels de la mode et du luxe, ils sont journalistes, stylistes ou photographes et surtout aguerris de longue date à l’exercice du style et de la création. Ils ont participé à la genèse de ce site et collaborent au quotidien, avec fraîcheur et non sans esprit critique, à forger son caractère. Découvrez la petite famille de Shoelifer.

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