BIRKENSTOCK : POURQUOI ELLES SONT TENDANCE ?

Longtemps sur la plus haute marche du podium des fashion faux pas (le port de chaussettes pouvant mener à une condamnation à perpétuité !), la Birkenstock a réussi ce que peu d’articles proscrits parviennent à faire : devenir un must-have absolu.

S’il y a bien une appropriation culturelle que la fashion sphere peut se vanter d’avoir opérée avec succès, c’est bien cette sandale volée aux touristes allemands, qui n’hésitaient pas à oser le combo maléfique Birkenstock/chaussettes de sport. Fondée en Allemagne en 1774, la Maison a su développer, à coup de « Deutsche Qualität », un mono produit, destiné à devenir la sandale orthopédique par excellence. Aujourd’hui cette sandale orthopédique a ses propres défilés, sa page exclusive sur les sites des différentes éditions de Vogue et ne quitte plus les pieds des stars hollywoodiennes.
À l’instar de Miranda Kerr, Milla Jovovitch ou encore Cara Delevingne, toute fashionista qui se respecte possède au moins une paire de Birkenstock, qu’elle porte avec un short, un jeans, une robe, etc. C’est l’immense atout de ces sandales qui de prime abord semblent dénuées du moindre intérêt ; en vernis noir, lamé, cuir argent ou vieux rose, elles s’accordent à toutes les tenues estivales. Et à chaque fashionista son modèle fétiche, la bride à boucle simple, la double bride, ou le chausson façon sabot (si, si, bien porté, il fait son effet aussi).

Cette saison, de nouvelles teintes viennent enrichir la palette des coloris disponibles : mesdemoiselles, mesdames, vous savez ce qu’il vous reste à faire.

Farah Nadifi

C’est d’abord à une carrière d’avocate que Farah aspire, après avoir eu son bac à Marrakech. Rapidement, néanmoins, sa passion pour la mode la rattrape. Née à Paris où elle vit jusqu’à ses 14 ans, elle baigne dans ce milieu : sa mère fait carrière dans le retail de luxe. Après être passée chez YSL, Salvatore Ferragamo, Giorgio Armani ou encore Miu Miu, elle est approchée pour diriger le premier flagship de luxe à Casablanca : la boutique Fendi. Elle la dirige quatre ans avant de devenir acheteuse pour Gap et Banana Republic. Mais au bout de 10 ans de carrière dans le retail, elle se lance dans une nouvelle aventure en s’essayant à l’écriture. C’est avec Sofia Benbrahim qu’elle collabore d’abord, pour L’Officiel Maroc, puis Shoelifer, en tant que journaliste mode et lifestyle.

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