MODE ADO : FAUT-IL CÉDER À LA DICTATURE DES MARQUES ?

On le sait, nos ados raffolent des marques de luxe, pour autant, est-il bien raisonnable de se ruiner en vêtements hors de prix pour faire plaisir à nos petites bêtes de mode ? Shoelifer s’est posé la question et vous aide à trouver les (bons) arguments pour ne pas céder à (tous) leurs caprices.


 1. Le total look brandé

Porter des marques, c’est le top, mais s’afficher brandé de la tête aux pieds, quel que soit l’âge, a toujours été un fashion faux pas. Et puis surtout, un sweat à capuche et une veste en jean restent un sweat à capuche et une veste en jean, qu’ils soient estampillés Balenciaga, Gucci ou Louis Vuitton x Supreme.

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Le rappeur Future en veste en denim Louis Vuitton par Suprême et hoodie Balenciaga

2. Les sneakers qui coûtent un rein

Depuis que les maisons de luxe s’y intéressent, les sneakers se négocient à prix d’or, jusqu’à atteindre des sommets. Chez Nike par exemple, sachez que la paire d’Air Force One par Comme des Garçons et Supreme s’affiche en boutique pour la modique somme de 680$. Ici, même si 3 marques ici peuvent vous sembler justifier le prix, quand on vous parle de prix d’or, reconnaissez que c’est à peine exagéré.

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3. Le cartable de luxe

Qui a décrété qu’un ado pouvait se balader avec un cartable Fendi sur le dos ? Même si l’objet du désir de notre amateur de Chocapic pré-pubère s’affiche sous la forme d’un monstre tout mignon, gardez bien en tête que ce cartable a été initialement conçu pour les grands (avec une âme d’enfant peut-être), mais sûrement pas pour traîner dans les cours de récré.

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Farah Nadifi

C’est d’abord à une carrière d’avocate que Farah aspire, après avoir eu son bac à Marrakech. Rapidement, néanmoins, sa passion pour la mode la rattrape. Née à Paris où elle vit jusqu’à ses 14 ans, elle baigne dans ce milieu : sa mère fait carrière dans le retail de luxe. Après être passée chez YSL, Salvatore Ferragamo, Giorgio Armani ou encore Miu Miu, elle est approchée pour diriger le premier flagship de luxe à Casablanca : la boutique Fendi. Elle la dirige quatre ans avant de devenir acheteuse pour Gap et Banana Republic. Mais au bout de 10 ans de carrière dans le retail, elle se lance dans une nouvelle aventure en s’essayant à l’écriture. C’est avec Sofia Benbrahim qu’elle collabore d’abord, pour L’Officiel Maroc, puis Shoelifer, en tant que journaliste mode et lifestyle.

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