BONS PLANS : 5 ADRESSES (ET PLUS) DANS LE 18E ARRONDISSEMENT DE PARIS

Le 18e arrondissement recèle des adresses jalousement gardées par les Parisiens. Entre « La Bohême » de Charles Aznavour, tout juste disparu, et un renouveau d’un quartier résolument branché, où Dior a même tenu son dîner post défilé en mai dernier, Shoelifer a déniché les hot spots à ne pas manquer, de Montmartre à Barbès. Suivez le guide.

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On déjeune à L’abattoir végétal

L’oxymore du nom s’explique par l’emplacement de ce lieu atypique, qui propose ses mets vegan au sein d’une ancienne boucherie. Ici, meubles d’écoliers des 50’s se mêlent à des tables montées sur d’antiques machines à coudre, pour un décor incongru et moderne. Dans l’assiette ? L’Abattoir végétal ne lésine pas sur les saveurs. Vous trouverez entre autres au menu le Toast ricotta avec ses noisettes, ses pommes et sa vinaigrette à la rhubarbe, un Black Bean Burger (burger au steak de haricots rouges) ainsi qu’une Soupe de framboises comme dessert. Et le tout en formule du midi pour 16,5 €. À tester.
61, rue Ramey, 75018 Paris.
Tél. : +33 1 42 57 60 62.

On dîne Chez Michou

Institution parisienne où Michou tout de bleu vêtu officie depuis 62 ans, l’établissement iconique du 18e arrondissement n’a pas pris une ride. On y va pour son spectacle de drag queens, son ambiance conviviale, et le mythique maître des lieux. Festif, divertissant et original, on est sûr d’y passer une sacrée soirée !
80, rue des Martyrs, 75018 Paris.
Tél. : +33 1 46 06 16 04.

On prend un verre au Mom’Art

Rouvert depuis septembre dernier, l’hôtel familial a confié sa rénovation au magicien Jacques Mechali, derrière les révisions du Bristol, du Costes ou encore du Trianon Palace. Bon à savoir, ce quatre étoiles aux 24 chambres divisées en 5 thèmes (Hermès, Cosy, Élégance, Artiste et Terrasse) compte désormais un spa, un bar et un restaurant où règne Grégory Cohen, prodige de la cuisine, bien connu du tout-Paris.
42, rue d’Orsel, 75018 Paris.
Tél. : +33 1 82 52 26 26.

On fait son shopping chez Maison Château Rouge

 Derrière ce label au succès fulgurant, deux frères issus du quartier. En 2015, ils lancent une collection capsule dans le but de récolter les fonds nécessaires à la création d’une association. Le fil rouge ? Le wax, imprimé typique d’Afrique de l’Ouest qu’ils détournent à l’envi. « C’est une marque parisienne avec une âme africaine « , résume Youssouf Fofana, créateur de Maison Château Rouge avec son frère Mamadou. Repérée par les enseignes Merci, Le Bon Marché et Les Galeries Lafayette, Maison Château Rouge se fraie vite un chemin parmi ces jeunes marques qui font la mode d’aujourd’hui. Depuis, elle multiplie les collaborations, pour Monoprix par exemple, avec une collection capsule en mai 2018 comprenant aussi bien du prêt-à-porter que des objets déco. Distribuée dans 7 pays dont le Japon ou le Danemark, autant vous dire qu’avoir une pièce Maison Château Rouge dans son dressing est aujourd’hui un must.
40, rue Myrha, 75018 Paris.

On erre au Musée Dalí

Le concept ? Une collection privée patiemment rassemblée par Beniamino Levi, l’un des grands collectionneurs et marchands de Salvador Dalí au monde qui n’a de cesse de mettre le travail de son artiste préféré en avant dans ce musée qu’il a rénové. Rouvert le 13 avril dernier pour le plus grand plaisir des touristes, amateurs de l’artiste fou ou bien encore des étudiants en Beaux-Arts, c’est l’unique lieu consacré à l’œuvre de Salvador Dalí en France.
Ouvert tous les jours de 10 h à 18h30. Entrée : 9 à 12 € (gratuit pour les enfants de moins de 8 ans).
11, rue Poulbot, 75018 Paris.
Tél. : +33 1 42 64 40 10.

On prend son café crème à La Brasserie Barbès

Au cœur de la Goutte d’or, ce bistrot parisien typique s’étale sur 3 étages. Chaises cannées, zinc traditionnel et véritable carte de brasserie parisienne (plateaux de fromages de régions, escargots de Bourgogne, bulots mayo, onglet échalotes), la Brasserie Barbès, ouverte il y a 3 ans, compte déjà de nombreux adeptes. La nouveauté ? Depuis cette année, l’établissement prisé des bobos lance son prix littéraire, à l’instar du célèbre Prix de Flore, décerné à des ouvrages consacrés à la musique.
2, boulevard Barbès, 75018 Paris.
Tél. : +33 1 42 64 52 23. 

Farah Nadifi

C’est d’abord à une carrière d’avocate que Farah aspire, après avoir eu son bac à Marrakech. Rapidement, néanmoins, sa passion pour la mode la rattrape. Née à Paris où elle vit jusqu’à ses 14 ans, elle baigne dans ce milieu : sa mère fait carrière dans le retail de luxe. Après être passée chez YSL, Salvatore Ferragamo, Giorgio Armani ou encore Miu Miu, elle est approchée pour diriger le premier flagship de luxe à Casablanca : la boutique Fendi. Elle la dirige quatre ans avant de devenir acheteuse pour Gap et Banana Republic. Mais au bout de 10 ans de carrière dans le retail, elle se lance dans une nouvelle aventure en s’essayant à l’écriture. C’est avec Sofia Benbrahim qu’elle collabore d’abord, pour L’Officiel Maroc, puis Shoelifer, en tant que journaliste mode et lifestyle.

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