ADRESSES : OÙ MANGER LE MEILLEUR POISSON DE CASABLANCA ?

L’une est en bord de mer, l’autre dans le centre historique de la ville blanche. Ces deux adresses sont loin d’être les plus chic, mais sont, sans conteste, les meilleures de Casablanca : on y trouve crustacés et poissons frais, tout juste pêchés. Vous avez envie de prolonger le plaisir des vacances ? Ou, au contraire, vous avez repris le travail et cherchez un coin de soleil pour vos pauses dej’ ? Voici deux spots aussi gourmands qu’atypiques, pour faire durer l’été.

[pro_ad_display_adzone id= »21726″] [pro_ad_display_adzone id= »20579″]

Entre ces deux adresses, notre cœur balance. La première, L’Mrissa, n’est pas un restaurant à proprement parler. C’est le tout petit port de Dar Bouazza. On voit le poisson arriver dans les barques des pêcheurs et leur achète directement ce que l’on va manger… en face. On s’installe dans l’un des petits restos, de l’autre côté de la rue, et on confie son poisson au serveur : il revient après quelques minutes, grillé sur le canoun, assaisonné de gros sel. Aussi simple et aussi bon que cela.

L’autre adresse, au cœur du centre-ville de la Ville blanche, est du même style : le Marché Central. Comme son nom l’indique, ce n’est pas un restaurant mais bien un marché. On y trouve du poisson fraîchement arrivé du port de pêche de Casablanca, à quelques pas de là. Le principe est le même qu’à Dar Bouazza (pardon, “Darb”) : on achète son poisson avant de le déguster –toujours dans l’enceinte du marché– sous les alcôves, dans l’un des petits stands. Les amateurs d’huîtres les dégusteront directement chez le poissonnier, debout devant son échoppe. Le conseil des habitués ? Demandez Malika.

Marché Central de Casablanca, Boulevard Mohamed V.

 

Crédits photo image de une: Vogue Japan

Farah Nadifi

C’est d’abord à une carrière d’avocate que Farah aspire, après avoir eu son bac à Marrakech. Rapidement, néanmoins, sa passion pour la mode la rattrape. Née à Paris où elle vit jusqu’à ses 14 ans, elle baigne dans ce milieu : sa mère fait carrière dans le retail de luxe. Après être passée chez YSL, Salvatore Ferragamo, Giorgio Armani ou encore Miu Miu, elle est approchée pour diriger le premier flagship de luxe à Casablanca : la boutique Fendi. Elle la dirige quatre ans avant de devenir acheteuse pour Gap et Banana Republic. Mais au bout de 10 ans de carrière dans le retail, elle se lance dans une nouvelle aventure en s’essayant à l’écriture. C’est avec Sofia Benbrahim qu’elle collabore d’abord, pour L’Officiel Maroc, puis Shoelifer, en tant que journaliste mode et lifestyle.

Pas Encore De Commentaires

Laisser une Réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.

@shoelifer

Instagram