24H SANS RÉSEAUX SOCIAUX ? 8 RÈGLES POUR RÉUSSIR SA DÉTOX

Attention, l’abus de réseaux sociaux est mauvais pour la santé. D’accord, ce n’est pas encore prouvé, mais une chose est sûre : Facebook, Instagram, Twitter et autres sont sympa, nous informent, nous permettent de garder le contact avec nos amis, nous indignent aussi… mais sont très chronophages ! Alors, si on faisait une pause ? Juste le temps d’une journée, avant de se remettre à guetter le nouveau buzz ou la dernière story de la “target” du moment (oui, on est au courant !). Petit guide de la rédaction.

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Règle #1 : On se prépare la veille

Vous pouvez en être sûr, si vous n’éteignez pas votre téléphone la veille au soir, votre premier geste du matin sera de regarder vos nouvelles notifications Facebook et Insta, entre autres. Mais comment se réveiller, vous demandez-vous, puisque votre téléphone vous sert d’horloge ? Cherchez bien, vous devriez trouver chez vous une relique pré-smartphone qui traîne certainement quelque part : le fameux réveil à l’ancienne. Préparez-vous à vous réveiller dans les “nineties”.

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Règle #2 : On allume la radio

Vous êtes addict aux news du matin et avez l’habitude de les lire sur Twitter ? Pas de problème, vos yeux vont passer le relais à vos oreilles : écoutez la radio en prenant votre petit déj’. Cela vous permettra de préparer vos tartines à deux mains, pour changer. Vous préférez le silence ? Sortez donc acheter un journal. Vous savez, cette chose qui ne sert plus désormais, qu’à nettoyer vos vitres…

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Règle #3 : On se sert de son téléphone…

Oui, mais attention, pour té-lé-pho-ner. Et seulement pour cela. Au bureau ou en mode farniente, lorsque l’heure de vos échanges (les fameux “débriefings”) arrive, appelez. WhatsApp, Messenger ? On oublie.

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Règle #4 : On fait la sieste

Ça y est, ça commence à vous titiller… Pas un seul retweet, hashtag ou commentaire à vous mettre sous la dent. C’est le moment le plus compliqué de la diète, comme la migraine du matin quand on tente le “sugar free challenge”. Une petite sieste vous fera le plus grand bien. On vous promet que vous n’y penserez –presque– plus en vous réveillant.

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Règle #5 On se fait un bon goûter

Mmmmm, se réveiller d’une bonne sieste estivale, avec ce petit creux venu tout droit de l’enfance. Vous savez quelle heure il est ? Celle du goûter ! Un petit moment à vous, rien qu’à vous, à grignoter votre péché mignon préféré.

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Règle #6 On va marcher ou courir

Vous pensiez vraiment que l’histoire du goûter allait se finir aussi bien qu’elle avait commencé ? Tut tut ! Il va falloir éliminer le goûter et surtout, laisser délibérément son smartphone à la maison pour ne pas être tenté de faire des stories de vos pieds qui marchent dans l’eau ou courent sur le sable. On la connaît, l’histoire.

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Règle #7 On prend un long bain

De la musique douce, de la mousse, quelques bougies et vous devriez vous sentir déconnecté. On ne vous avait pas dit que les pauses avaient du bon ? C’est presque comme une séance de yoga, vous vous êtes recentré sur vous-même et avez repris le contrôle de vos mains, démunies de leur appendice téléphonique.

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Règle #8 On sort dîner entre potes

Vous serez avec vos amis – justement les gens susceptibles de vous contacter– donc nul besoin de votre téléphone. S’il y a une urgence, vos proches sauront comment vous joindre. C’est la dernière ligne droite avant d’aller vous coucher. Dès votre réveil, le lendemain matin, on sait que la première chose que vous allez faire, c’est raconter votre infernale journée de privation dans un statut Facebook !

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La règle ultime : on enferme son téléphone dans un coffre et on jette la clé

Vous faites partie de ceux qu’il faut droguer en cachette pour vous séparer de votre smartphone ? Demandez-donc à une âme charitable de votre entourage de vous en délester. Choisissez quelqu’un de fort, qui, malgré vos prières ou menaces, ne vous dira jamais où l’engin est caché.

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Farah Nadifi

C’est d’abord à une carrière d’avocate que Farah aspire, après avoir eu son bac à Marrakech. Rapidement, néanmoins, sa passion pour la mode la rattrape. Née à Paris où elle vit jusqu’à ses 14 ans, elle baigne dans ce milieu : sa mère fait carrière dans le retail de luxe. Après être passée chez YSL, Salvatore Ferragamo, Giorgio Armani ou encore Miu Miu, elle est approchée pour diriger le premier flagship de luxe à Casablanca : la boutique Fendi. Elle la dirige quatre ans avant de devenir acheteuse pour Gap et Banana Republic. Mais au bout de 10 ans de carrière dans le retail, elle se lance dans une nouvelle aventure en s’essayant à l’écriture. C’est avec Sofia Benbrahim qu’elle collabore d’abord, pour L’Officiel Maroc, puis Shoelifer, en tant que journaliste mode et lifestyle.

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