MAWAZINE 2018 : QUEL LOOK ADOPTER ?

Coachella, Capri, Rock en Seine, Gnawa d’Essaouira ou encore Glastonbury… chaque festival à un code vestimentaire bien à lui. Mawazine, qui en est à sa 17e édition, fait partie des festivals qui comptent. Alors comment s’habille t-on pour briller dans le festival r’bati?

La question s’est posée chez Shoelifer, alors que le festival commence dans trois jours, le 22 juin. Le style Mawazine, c’est quoi ? C’est d’abord un festival de musique, et on va aux concerts de ses artistes préférés avec l’envie de chanter, danser, sauter. Il faut donc être à l’aise. Mais Mawazine a ceci de particulier qu’il prend place dans une capitale où les looks sont plutôt sobres et chic. Lorsque le concert a pris fin, et que l’on veut aller dîner ou prendre un verre, comment fait-on ? On se change à l’arrière de la voiture ? Pas du tout, on arrive déjà parée, dans un look qui matche parfaitement avec ce festival décontracté.

Le secret de ce style ? La jupe-culotte. Ce pantalon à la coupe large et courte, dans un tissu léger, reste distingué, même en mode cool. La preuve vivante : Victoria Beckham, qui ne sort plus sans jupe-culotte depuis des années. Elle les marie à des petits cachemires col ronds en hiver et à des petites blouses dont elle a le secret en été. Elle a même étonné la planète mode lors du défilé automne-hiver 2017, en mettant des sneakers  aux pieds de ses mannequins en jupe-culotte. Elle, la reine de l’escarpin vertigineux ! On aura également vu la jupe culotte sur le podium de GUCCI pour leur collection printemps-été 2018, en imprimé en tête de tigre japonisant, chez la femme comme à l’homme.

C’est un peu ce style que l’on vous propose pour crapahuter de scène en scène pendant Mawazine, une jupe-culotte à l’imprimé funky, une blouse romantique et courte pour la touche sexy et une paire de sneakers en velours pour rester chic. Pour finir, un sac pas trop grand, et surtout, porté en bandoulière, histoire d’avoir les mains libres pour applaudir… et faire vos stories Instagram, bien sûr.

Farah Nadifi

C’est d’abord à une carrière d’avocate que Farah aspire, après avoir eu son bac à Marrakech. Rapidement, néanmoins, sa passion pour la mode la rattrape. Née à Paris où elle vit jusqu’à ses 14 ans, elle baigne dans ce milieu : sa mère fait carrière dans le retail de luxe. Après être passée chez YSL, Salvatore Ferragamo, Giorgio Armani ou encore Miu Miu, elle est approchée pour diriger le premier flagship de luxe à Casablanca : la boutique Fendi. Elle la dirige quatre ans avant de devenir acheteuse pour Gap et Banana Republic. Mais au bout de 10 ans de carrière dans le retail, elle se lance dans une nouvelle aventure en s’essayant à l’écriture. C’est avec Sofia Benbrahim qu’elle collabore d’abord, pour L’Officiel Maroc, puis Shoelifer, en tant que journaliste mode et lifestyle.

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